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plus, il se souvient d'un débat public récent aucours duquel
le nain Rumio, de la maison anti-théranne Ylwaz, s'est fait humilié
par le superbe dicours du très contradicteur Unataius. Dans son souvenir,
il revoit très bien le nain perdant son sang-froid, chose rare pour
un grand marchand, et maudire les thérans, l'homme et sa famille...
Chacun menant sa propre enquête, les routes se croisent au détour
de l'auberge du Nez-cassé, tandis que l'affaire prend de l'ampleur
dans les allées de Throal. En effet, si la garde royal avait fort justement
signifier la mort accidentelle du jeune elfe, Unataius, qui vient de perdre
son seul fils, fait valoir que "comme toujours, le garde royale prévilégie
le citoyen nain, même pauvre, face à un
étranger, alors que le royaume se vante de l'égalité
des droits au sein de Throal". Justice doit donc être rendue dans
les prochains jours.
Javeed, tel l'expert se rend en compagnie de Ananth au cimetière où
le jeune Lafalid a été enterré, et il décèlera
astralement une empreinte curieuse : de deux chose l'une, soit c'est un sort
permanent lancé sur l'elfe maintenant décédé,
soit c'est une empreinte témoignant d'une certaine corruption, chose
en principe peut probable ici.
Le soir même, Tilsut, le windling magicien, se rend lui aussi auprès
de la tombe, et sa perception astrale l'invitera à penser que l'empreinte
présente sur le corps mort de l'elfe n'est pas un sort permanent...
Yaveed commence dès lors à voir cette affaire d'un autre oeil.
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